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mercredi, 31. juillet 2024
Save the date : 4ème édition des Rencontres Faune-PACA !
La LPO Provence-Alpes-Côte d'Azur et l'équipe de Faune-PACA ont le plaisir de vous inviter à la 4ème édition des Rencontres Faune-PACA, le samedi 16 novembre 2024 dans les Bouches-du-Rhône (13).
Le lieu précis ainsi que le programme détaillé vous seront communiqués prochainement.
À très bientôt !
L'équipe faune-paca
posté par Aurélie Torres
mercredi, 31. juillet 2024
Déjà la fin de l’enquête Devine qui papillonne au jardin 2024
Un grand merci à l’ensemble des personnes, naturalistes confirmés et débutants, pour leur investissement et le partage de leurs données…
Maintenant que vous avez le pied à l’étrier ne vous arrêtez pas !
La majorité des papillons de jour et de volent en été, mais des espèces possèdent plusieurs générations dans l’année et sont donc observable plus longtemps. D’autres, plus spécifiques, sont visibles très tôt dans l’année comme l’Azuré des nerpruns qui peut commencer à être observer en février.
Que ce soit au printemps ou en automne, un manque de donnée d’espèces précoces ou tardives est observé car il y a moins de prospection durant ces périodes. Il sera donc intéressant de continuer les prospections à ces périodes surtout au vu du contexte climatique actuel.
L’amélioration des connaissances tout au long de l’année, en continuant de partager ses données sur faune-paca.org, est essentielle pour mieux connaitre l’écologie de l’ensemble des espèces présentes au niveau de notre région, afin de mieux les protéger.
Sur la page dédiée à l’enquête, un bilan complet sera bientôt disponible. Grâce à votre investissement durant la période de l’enquête, l’écologie et la répartition des espèces communales et patrimoniales seront mieux connues. Cela nous permettra par la suite d’adopter de meilleures stratégies de conservation et de protection au cours des prochaines années.
En août les visites au jardin à papillons de l’Escarelle continuent !
Au fil des semaines, le cortège de papillons va évoluer jusqu’à l’arrivée de l’automne, venez le découvrir dans le cadre d’une visite guidée sur le jardin à papillons du domaine de l’Escarelle !
Cette enquête participative est soutenue par l’Union européenne avec le Fonds Européen Agricole pour le Développement Rural
posté par Aurélie Torres
mardi, 23. juillet 2024
Lourde condamnation pour le tueur de l’aigle le plus rare de France
Dans un jugement rendu ce 17 juillet à la suite d'une audience tenue le 13 mai 2024, le Tribunal correctionnel de Grenoble a condamné l’accusé à quatre mois de prison avec sursis et 61.301 euros de dommages et intérêts à verser aux associations de protection de la nature qui s'étaient constituées partie civile. Son permis de chasse lui a été retiré et il fait l'objet d'une interdiction de détenir et porter une arme pendant trois ans. Son demi-frère, présent au moment des faits, a été relaxé de "complicité de destruction d'une espèce protégée" mais s’est vu infliger deux amendes pour avoir déplacé le corps de l'animal et pour "conservation d'une espèce protégée". Dans sa décision, le tribunal a noté que ces infractions sont les plus hautes prévues par le code de l’environnement et relèvent de la criminalité grave dans ce domaine.
La jeune pygargue femelle s’appelait Morzine. Née au parc animalier « Les aigles du Léman », elle avait été relâchée le 4 septembre 2023 dans le cadre d’un programme de réintroduction de 85 pygargues dans les Alpes d’ici 2030. Sur quatorze individus ainsi mis en liberté depuis 2022, trois sont déjà morts abattus. En avril 2023, Sciez, un jeune mâle, a en effet été tué en Allemagne dans des circonstances sordides. Un autre a été abattu dans le Gers en octobre 2023, l’enquête de l’OFB est toujours en cours. Le 30 août prochain, deux personnes seront jugées par le tribunal de Troyes pour la mort d’un quatrième pygargue découvert en mai 2024 dans les Ardennes, empoisonné au Carbofuran, un insecticide interdit en France depuis 2008.
Le Pygargue à queue blanche est le rapace nicheur le plus rare de France métropolitaine avec cinq couples reproducteurs recensés sur le territoire pour moins d’une trentaine d’individus au total. L’espèce avait officiellement disparu de notre pays en 1959 avant de s’y reproduire de nouveau à partir de 2015. Elle bénéficie d’un Plan national d’action animé par la LPO, dont fait partie le programme de réintroduction.
Pour Allain Bougrain Dubourg, président de la LPO : « La justice semble prendre enfin la mesure de l’importance du préjudice écologique causé par de tels actes de cruauté gratuite, que seules de lourdes sanctions dissuasives peuvent permettre d’enrayer. La suspension du permis de chasser pendant trois ans reste insuffisante. La mort d’une espèce protégée aussi rare que le pygargue devrait justifier une interdiction définitive de porter une arme. »
Pour Jacques-Olivier Travers, responsable du suivi de la réintroduction des pygargues et fondateur du parc des Aigles du Léman : « On se bat depuis 30 ans pour sauver le pygargue de l’extinction. J'ai relâché dix individus ces derniers mois, trois sont morts par balle. La sévérité de ce jugement confirme qu’il est inacceptable de voir tous ces efforts ainsi réduits à néant et met fin au sentiment d’impunité qui prévalait jusqu’alors chez les braconniers.»
Participez aux consultations publiques pour suspendre la chasse de deux oiseaux menacés !
La LPO milite depuis de nombreuses années pour une stricte protection de ces deux oiseaux quasi-menacés de disparition sur la liste rouge de l'Union internationale de conservation de la nature (UICN). Notre association soutient donc les propositions d’en interdire la chasse sur le territoire national, tout en regrettant qu’il ne s’agisse à nouveau que de suspensions pour une durée d’un an seulement.
Pour que la chasse de la Barge à queue noire et du Courlis Cendré reste interdite, nous vous invitions à répondre FAVORABLEMENT au renouvellement des moratoires avant le 26 juillet 2024 !
Les deux consultations publiques sont disponibles en cliquant << ici >>.
Les papillons de notre région : des beautés fragiles
Malgré le plaisir que procure leur observation, les papillons sont confrontés à de multiples menaces...
Ce n’est plus un secret, depuis quelques décennies un déclin silencieux des papillons en France est constaté. Pour avoir une donnée chiffrée, parmi les tous les papillons sur l’ensemble du territoire, 2/3 ont disparu d’au moins un département. Ce déclin se traduit malheureusement par beaucoup de menaces dont beaucoup ont une origine anthropique.
L'une des principales menaces pesant sur les papillons découle de l'adoption croissante de pratiques agricoles incompatibles avec la préservation de la biodiversité. L'agriculture intensive et la monoculture, souvent accompagnées d'une utilisation excessive de pesticides, sont particulièrement préjudiciables aux papillons, tout comme à de nombreux autres organismes. Cette intensification agricole entraîne la disparition de certains habitats, notamment des prairies, essentiels à de nombreuses espèces de papillons. La dégradation de ces milieux conduit à leur fragmentation, isolant ainsi les populations restantes et favorisant l'extinction des espèces spécialisées qui ne peuvent s'adapter à d'autres environnements.
Par ailleurs, le réchauffement climatique constitue une menace actuelle pour les papillons. Les variations de température affectent particulièrement les espèces adaptées aux climats froids, les contraignant à se réfugier en altitude ou entraînant leur disparition locale dans certaines régions. À l'inverse, les espèces thermophiles profitent de ces changements pour étendre leur aire de distribution vers le nord.
Afin de participer à leur conservation et de sensibiliser le grand public, l’enquête régionale « Devine qui papillonne » est organisée tous les ans depuis 2018 !
Comment participer?
Observez, identifiez et saisissez vos observations sur notre site : faune-paca.org. Lors de la saisie de la donnée, mettez en remarque "DQP2024" pour montrer votre participation à l'enquête.
Franc succès pour les deux camps de prospection dédié au Râle des genêts !
Du 14 au 16 juin 2023, deux camps de prospection organisés simultanément par la LPO PACA sur les communes de Seyne et Auzet dans les Alpes-de-Haute-Provence (04) et sur les communes de Beuil et Péone dans les Alpes-Maritimes (06) ont remporté un franc succès !
Ils ont permis de réunir 28 participants, dont des professionnels de l'Office Français de la Biodiversité (OFB), du Parc national du Mercantour, du Parc naturel régional du Luberon, ainsi que des animateurs de sites Natura 2000 !
L'effort de prospection aura porté ses fruits, puisque 3 mâles chanteurs de Râle des genêts ont ainsi été détectés et localisés dans des prairies de fauche plus ou moins humides. Un mâle aura même pu être observé au lever du soleil par un participant photographe !
Les prospections de jour comme de nuit ont aussi permis de faire de formidables observations de la faune et de la flore de ces territoires : Aigle royal, Gélinotte des bois, Chevêchette d'Europe, Tétras lyre, Bruant ortolan, Pie-grièche écorcheur, Caille des blés, Blaireau d'Europe, Bouquetin des Alpes, Martre des pins, Lézard des souches, Grenouille rousse, Salamandre tachetée, Isabelle, Carabus solieri, plusieurs espèces d'orchidées...
Des mesures de retard de fauche vont ainsi être mises en place en concertation avec les propriétaires des parcelles afin de maximiser le succès de reproduction du Râle des genêts.
Un grand merci à tous les bénévoles pour leur participation, leur motivation et les échanges enrichissants qui en ont découlé ! Nous remercions la DREAL PACA dont le soutien financier a permis la réalisation des deux camps de prospection !
L'école de l'ornitho arrive à la rentrée en Provence !
La Ligue pour la Protection des Oiseaux Provence-Alpes-Côte d’Azur lance à la rentrée 2024 trois écoles de l’ornithologie destinées aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels, avec le soutien des Conseils départementaux de Vaucluse, des Bouches-du-Rhône et de la ville de Marseille.
Le principe est simple : des cours du soir en salle répartis tout au long de l’année, associés à des sorties nature pour permettre à tout un chacun de mieux connaître et de reconnaître les oiseaux de sa région. La progression et les méthodes pédagogiques sont étudiées pour permettre aux débutants une réelle progression, seule la motivation est requise ! La formule a été testée avec succès à Marseille l’année dernière et elle se développe partout en France ! Dans certaines régions, les inscriptions sont prises d’assaut et la LPO anime plusieurs promotions simultanément.
Pourquoi se former à l’ornithologie ?
Pour mieux comprendre et décrypter le monde sauvage qui nous entoure ;
Pour devenir ambassadeur de nature auprès de ses proches ;
Pour contribuer activement à l’étude de la biodiversité.
Quels sont les objectifs généraux ?
Acquérir un bagage de connaissance sur l’avifaune du département ;
Maîtriser une méthode reproductible pour identifier les oiseaux ;
Acquérir les connaissances scientifiques et techniques nécessaires à la pratique de l’ornithologie.
Quelles sont les dates et les lieux ?
En Vaucluse, à Cabrières d’Avignon école de l’ornithologie niveau 1 débutant, en 20 cours du soir, de 18h à 20h en semaine et 5 sorties le samedi matin, répartis d’octobre 2024 à juin 2025.
A Marseille, école de l’ornithologie niveau 2 amateur, en 20 cours du soir de 18h30 à 20h30 et 6 sorties terrain le weekend et école de l’ornithologie débutant niveau 1, en intensif du 14 au 18 octobre.
Les chenilles des papillons : les reines du camouflage !
Lors de vos promenades en pleine nature à la recherche de papillons, les adultes (appelés imago) se distinguent facilement par leurs couleurs vives. En revanche, repérer les chenilles de ces papillons sur différentes plantes peut s'avérer plus complexe. Si certaines chenilles sont assez colorées, à l'instar de celles du Machaon, d'autres adoptent des couleurs mimétiques, souvent cryptiques, les rendant discrètes et bien camouflées dans leur environnement.
En effet, même en inspectant la bonne plante hôte pour la bonne espèce, c’est souvent une chance de trouver une chrysalide ou une chenille !
La plupart des chenilles adoptent une coloration dîte « homochrome », une adaptation qui leur permet de se fondre dans leur environnement et d'échapper aux prédateurs. Cette capacité de camouflage démontre l'efficacité de la sélection naturelle, car seules les chenilles les mieux camouflées parviennent à l'âge adulte. Ainsi, au fil des générations, ce camouflage s'affine et devient de plus en plus précis.
Un des plus beaux exemples pour illustrer ce propos est la chenille du Flambé qui reprendre la couleur de la feuille de ses arbres hôtes : les Prunus. Elle va même jusqu’à imiter la nervure des feuilles de ces derniers. Les chenilles dont le développement coïncide avec l’arrivée de l’automne, arrivent même à prendre la teinte des feuilles sur le point de tomber de l’arbre (jaune avec des points roux).
Mais le stade de chenille n’est pas le seul stade qui peut montrer des capacités de camouflage étonnantes. En effet, certaines espèces possèdent des couleurs très cryptiques, ce qui peut rendre leurs observations assez ardues. C’est notamment le cas du Silène (Brintesia circe).
Ce grand papillon de la famille des Nymphalidés peut atteindre les 7 cm d’envergure, ce qui en fait un papillon de grande taille. Le Silène affectionne les milieux chauds et secs, il fréquente aussi volontiers les lisières ou les sous-bois. Dès qu’un danger s’approche, il se pose sur des troncs d’arbres ombragés ce qu’il rend presque indétectable, car ses ailes postérieures se confondent parfaitement avec l’écorce.
Lors de vos recensements dans le cadre de l’enquête participative « Devine qui papillonne au jardin 2024 », amusez-vous donc à inspecter les troncs et les plantes afin de repérer les différents états des espèces pour confirmer leur reproduction sur le site. Prenez de belles photos et comparer les couleurs de plusieurs individus d’une même espèce. Ces informations, qui vont plus loin que le fait de noter la présence de l’espèce, nous permettra peut-être d’appréhender l’évolution des couleurs de nos papillons au fil des années, au grès des changements de leur environnement.
Vous avez besoin d’un coup de pouce supplémentaire pour l’identification des papillons ?
Si vous éprouvez de la difficulté à utiliser faune-paca.org ou si vous avez un doute d’identification envoyez-nous vos observations, si possible avec des photographies, à l’adresse : charlotte.springaux@lpo.frou à ambassadeur83.hyeres@lpo.fr
Ce mois-ci, LPO PACA vous invite à compter et recenser les papillons de votre jardin et des espaces naturels proches de chez vous… Préparez votre filet, votre guide d’identification et ouvrez bien les yeux: les papillons sont là et ils attendent que vous!
Les objectifs de l’enquête?
Lancée en 2018, l’enquête participative « Devine qui papillonne » vise à encourager et à sensibiliser le grand public à l'observation des papillons et à documenter leurs observations dans la base de données Faune PACA. Ces données sont ensuite utilisées pour orienter nos actions en faveur de la préservation des papillons.
Comment participer?
Observez, identifiez et saisissez vos observations sur notre site : faune-paca.org. Lors de la saisie de la donnée, mettez en remarque "DQP2024" pour montrer votre participation à l'enquête.
Vous avez besoin d’un coup de pouce pour l’identification des papillons ?
La dernière session d’initiation gratuite pour apprendre à reconnaitre les papillons, aura lieu ce mercredi 3 juillet à la Celle ; Pour vous inscrire, envoyez un mail à : charlotte.springaux@lpo.fr
Si vous éprouvez de la difficulté à utiliser faune-paca.org ou si vous avez un doute d’identification envoyez-nous vos observations, si possible avec des photographies, à l’adresse charlotte.springaux@lpo.frouambassadeur83.hyeres@lpo.fr
Cette enquête participative est soutenue par l’Union européenne avec le Fonds Européen Agricole pour le Développement Rural
posté par Aurélie Torres
mercredi, 19. juin 2024
rappel : créer des lieudits avec le fond cartographique IGN Plan !
Tous les inscrits de faune-paca ont par défaut le droit de créer des lieudits et d'utiliser (le plus souvent possible !) la localisation précise. Merci de respecter scrupuleusement les consignes du mode d'emploi (§ 6 et 9).
Nous invitons chaque utilisateur de faune-paca à créer autant de lieudits que nécessaire en utilisant le nouveau fond de carte disponible (IGN Plan V2). Cela permet de saisir vos observations à l'endroit exact de leur réalisation et non pas comme on le voit trop fréquemment encore sur le lieudit le plus proche (même s'il est trop distant). Saisir une donnée de nidification de rapace rupestre sur un lieudit situé en pleine forêt fausse une donnée !
La démarche idéale est la suivante :
je vérifie d'abord que les lieudits existent dans faune-paca. Si ceux-ci sont inexistants ou trop éloignés, je les crée;
puis je saisis mes observations de façon précise (sur ou autour du lieudit).
Si chacun fait cet effort, nous finirons par combler les lacunes. Mieux encore, chacun peut prendre en charge sa commune (ou ses zones régulières de prospection), puis les communes limitrophes pour y créer un maillage pertinent de lieudits (environ tous les 500m). Actuellement, près de 94 000 lieudits sont référencés dans faune-paca. Certaines communes sont encore trop peu pourvues en lieudit (ce qui souvent correspond à des zones non prospectées !).
Par ailleurs, avec l'usage de l'application mobile (qui ne se soucie pas des lieudits), des données sont parfois rattachées à des lieudits très distants, ce qui n'aide pas à la compréhension de l'observation (pas facile d'aller observer un oiseau indiqué sur un lieudit si cet oiseau est en fait à 2 km de là !).
Nous sommes à votre disposition pour répondre à vos questions (webadmin.paca@lpo.fr).
Bonnes observations !
posté par Amine Flitti (fp)
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